… un petit dessin au feutre en attendant Papa Noël



… un petit dessin au feutre en attendant Papa Noël



Belle rétrospective de l’œuvre du photographe allemand Albert Renger-Patzsch (1897-1966).
Les thèmes se succèdent au fil des années : plantes, paysages fantasmagoriques entre campagne et ville d’après-guerre, bâtiments industriels, objets manufacturés, arbres, motifs rocheux.




Jeu de Paume, Paris (Concorde), du 17 octobre 2017 au 21 janvier 2018
http://www.jeudepaume.org/?page=article&idArt=2757
… le Jeu de Paume, c’est aussi une super librairie sur le thème de la photo !

Ce matin, en allant chercher mon pain rue Nationale dans ma boulangerie-pâtisserie préférée (L’Art du pain, pour ne pas la citer), j’ai été fort contrite de constater que Toto allait déménager en périphérie du Mans.
Toto, pour moi, c’est toute une histoire… qui date de l’époque où, étudiante au Mans, j’allais y acheter du tissu pour y aménager comme je pouvais (et surtout à pas cher) ma chambrette de cité U. C’est aussi de cette caverne d’Ali Baba que venait le tissu lamé rouge dans lequel j’avais fait mon déguisement de petit chaperon rouge pour une soirée de nouvel an (en cassant au passage quelques aiguilles de la machine à coudre maternelle…).
Bref Toto, pour moi, c’était une institution, un repère dans ce petit Montmartre du Mans qu’est pour moi la rue Nationale. Il y a environ un an avait déjà fermé l’annexe dédiée aux tissus d’ameublement, après celle consacrée aux tissus africains. Donc : snif.
D’un autre côté, pour les vendeuses c’est vrai que ce magasin ne devait pas être très agréable (on y étouffait notamment en été), donc j’espère qu’elles y trouveront un meilleur confort.

En poursuivant ma balade, je me suis arrêtée quelques pas plus loin dans une nouvelle boutique-atelier-de-couture-et-de-loisirs-creatifs-salon-de-thé : « Ô Comptoir de mes Rêves« . Il s’agit d’un concept qui me plaît bien, et qui j’espère tiendra pignon sur rue pour longtemps… au moins aussi longtemps que Toto ! Voilà qui m’aidera peut-être à concrétiser ce défi couture.

En formation, c’est bien connu, trop souvent parfois on s’ennuie… Dans ces cas-là, il est bien agréable d’avoir un défouloir une occupation, même si on tourne vite en rond au niveau de l’inspiration…
Les dessins ci-dessous ont été réalisés au cours d’une formation particulièrement douloureuse, donc fructueuse.







« La Petite France » by night
Depuis quelques semaines ce blog est en friche…
Merci à SFR (nous faisons partie des heureux foyers qui étions dans l’eau du bain avec Numéricable), grâce à qui nous vivons l’aventure « Retour dans le futur ».
Quand je me connecte à Internet, j’ai l’impression d’entendre le doux bruit du modem du début des années 2000… en effet, j’ai le débit qui va avec. Donc impossible pour moi de télécharger ici la moindre image, ce qui est un peu bêta vu que c’était mon objectif.
Articles en souffrance : les Escape Games du Mans ; la dédicace d’Emmanuel Lepage à la librairie Bulle le 13 octobre ; le concert de Frère animal le 14 octobre à Allonnes ; quelques dessins… et j’en passe.
Une petite pensée à tous ceux pour qui ce débit escarg(r)otesque est le quotidien.
http://www.60millions-mag.com/2016/10/25/les-sept-plaies-des-abonnes-sfr-10731
Il y a quelques semaines, je suis allée visiter la belle exposition dédiée à Henri Gizard (1879-1929) au Musée de la Reine Bérengère (dans le Vieux Mans). L’artiste sarthois, originaire de Saint-Calais, m’était inconnu.
Cette exposition m’a fait penser à celle que le musée avait consacrée au printemps 2015 à Eugène Delâtre, qui m’avait fascinée.
J’ai beaucoup aimé les dessins aux traits noirs rehaussés d’aquarelle.

(Les photos n’étant pas autorisées en raison de l’exposition d’œuvres issues de collections privées, je n’ai pas pu illustrer cet article comme je l’aurais souhaité.)
Dossier de presse disponible : ici.
Article de Ouest France du 21/06/2016
Belle exposition au musée des Beaux-Arts de Caen consacrée à Frits Thaulow, peintre norvégien du « pleinairisme ».
« Né à Oslo en 1847, Frits Thaulow découvre Paris en 1874, l’année même de la première exposition impressionniste. En 1892, il s’installe durablement en France, multipliant parallèlement les voyages à travers l’Europe et menant une carrière internationale exceptionnelle. Partout où il se rend, il plante son chevalet et peint sans relâche les paysages qui l’entourent. En choisissant d’organiser la première grande rétrospective de l’œuvre de Frits Thaulow, le musée des Beaux-Arts de Caen esquisse le portrait d’un citoyen du monde, écologiste avant l’heure. »
Extrait du dossier de presse disponible ici. Exposition jusqu’au 26 septembre 2016.
Parmi les salles, l’une présente de nombreuses scènes de rivières. Devant ces peintures d’eau vive, on a envie de plonger sa main dans le flot pour en sentir la fraîcheur…

En entrant dans la salle dédiée à l’hiver, la sensation d’éblouissement et de froid est saisissante. On croit respirer l’air sec et froid, mais également sentir le soleil.



Recette de mousse au citron élaborée en cette fin d’été caniculaire… vous m’en direz des nouvelles !

Pour 6 petits ramequins :
Matériel :
Il est possible de transformer cette mousse en glace en la mettant simplement au congélateur. Au bout d’une heure, je trouve la texture très bien : frappée mais encore moelleuse. Au bout d’une nuit au congélateur, la glace est très ferme, mais tout de même mangeable (les cuillerées étant de ce fait plus petites, on la savoure plus !). Je pense qu’en bâtonnets, ça doit pas mal (il faut que je regarde dans mon bazar si j’ai ça…).
Sur la photo, il y a 2 verrines avec au fond un sablé écrasé. En effet, la première version de cette recette était trop crémeuse (donc un peu écœurante), donc j’ai voulu tester en rajoutant quelque chose de croustillant… mais au bout d’une nuit au frigo, le biscuit ne croustille plus guère (ça n’est pas vraiment une surprise, mais j’aurais essayé).
Week-end en famille(s) dans le Calvados, petite balade au bord de la mer à marée haute.




